Un grand départ inédit qui ouvrira trois semaines de course annoncées comme parmi les plus difficiles de l’histoire, entre Méditerranée et cols andalous.
Un départ historique depuis la Principauté
La 81e édition du Tour d’Espagne partira de Monaco, une première pour la Principauté, déjà hôte du Giro en 1966 et du Tour de France en 2009. Le grand départ prendra la forme d’un contre-la-montre individuel dans les rues monégasques. Le lendemain, le peloton quittera Monaco pour rejoindre la France, avec une traversée des Alpes-Maritimes et un passage très attendu par Nice, sans doute sur la Promenade des Anglais, avant de filer vers Manosque.
Un parcours taillé pour les grimpeurs
Après ces premières étapes, la course longera la Méditerranée avant de plonger vers l’Andalousie. Le tracé prévoit quatre étapes de moyenne montagne et six étapes de montagne, pour un dénivelé total de plus de 58 000 mètres, davantage que le Giro ou le Tour de France. L’arrivée finale est programmée à Grenade, au pied de l’Alhambra. Deux contre-la-montre sont également au programme, à Monaco puis en Andalousie.
Vingegaard en quête d’un nouveau défi
Vainqueur de l’édition 2025, Jonas Vingegaard remettra son titre en jeu. Les organisateurs espèrent aussi attirer les meilleurs grimpeurs du peloton mondial, dont Tadej Pogacar. Présent lors de la présentation à Monaco, le Slovène n’a toutefois pas encore confirmé sa participation. Une chose est sûre : avec ce départ prestigieux et un parcours exigeant, la Vuelta 2026 s’annonce comme un rendez-vous majeur du cyclisme international.